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Le Coronavirus tue Manu Dibango ce 24 mars en France à l’âge de 86 ans

Manu Dibango, le célèbre saxophoniste camerounais est décédé

Manu Dibango, le célèbre saxophoniste camerounais est décédé

Le COVID-19 a finalement eu raison de Manu Dibango. Tout le monde le savait atteint du nouveau Coronavirus 2019, mais très peu en savait sur la gravité de son état. Sa nièce Chouchou (Kumb’e lolo) informait à une des correspondantes de Saimondy à Paris qu’il luttait entre la vie et la mort au centre Hospitalier de Melun. Au Coma, le célèbre saxophoniste luttait donc. Mais à 86 ans les chances sont minces devant ce virus, le Coronavirus est implacable pour des personnes de son âge.




Manu s’en est donc allé ce mardi 24 mars 2020 terrassé par le COVID-19. L’annonce a été faite par ses proches. Mort avant ce jour ou après, cela n’est plus que de l’ordre des mystères dignes d’un génie qui a su marquer son temps d’une belle empreinte artistique. Le célèbre saxophoniste camerounais s’en va vers d’autres chemins, laissant derrière lui une immense œuvre artistique que très peu pourront égaler sur terre. Des Manu, le monde n’en fabrique que très peu en 100 ans.

Manu Dibango comme le coronavirus

« Soul Makossa », le tube aujourd’hui planétaire l’a révélé au monde entier dans les années 72 – 73, issu de la « face B » du « 45 tours » du disque dédié à la CAN de 1972 qu’avait organisé le Cameroun. Cette chanson avait gagné le monde comme le fait le COVID-19 qui vient de le faire quitter Manu Dibango de cette terre. Le tube jusqu’ici est resté éternel. Décidément, l’artiste ne mourra pas de sitôt car, après Michael Jackson et Rihanna qui l’ont repris chacun à sa guise, beaucoup de ses sonorités sont débusquées dans plusieurs audios de par le monde. Et il est clair que dès ce jour, ce tube sera l’une des chansons les plus jouées sur terre. Déjà, le nom Manu Dibango est depuis ce mardi 24 l’un des plus recherché sur Google research.




Et la polémique qui va enfler au fil des jours sur cette mort qui arrive alors qu’on nous annonce la Chloroquine comme remède miracle. Est-ce un grand coup pour faire comprendre aux Africains ce qui les attend ? Est-ce la seconde étape du plan des grandes firmes pharmaceutiques ? Faire mourir les plus grands d’Afrique pour justement choquer les Africains, les faire peur et les mener tout droit vers le vaccin qu’ils ne veulent pas adopter ? Lorsque la situation se complique, et que naissent des situations compliquées dans une situation compliquée, seuls des esprits éveillés pourront faire des barrières pour sauver le peuple. La mort du riche homme d’affaires camerounais Fotso Victor en France et celle de Manu Dibango ne sauraient être juste classées dans l’ordre des choses négligeables. C’est un signe des temps. Rien ne sera plus comme avant. Une nouvelle ère dans les affaires et dans le showbiz est arrive.

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