Alerte : l’institut Pasteur manipule-t-il les tests de COVID-19 en Afrique ?
L’institut Pasteur (IP) est l’officiel des tests dans tous les pays francophones d’Afrique, en ce qui concerne les maladies infectieuses. Officiellement, elle s’occupe de l’étude de la biologie, des micro-organismes, des maladies et des vaccins. Ses chercheurs sont disséminés dans 32 instituts dans le monde avec 10 prix Nobel dans la besace des récompenses depuis 130 ans. L’institut Pasteur est une fondation française privée à but non lucratif qui reçoit des dons pour poursuivre ses recherches et travaille main dans la main avec l’OMS. Si le travail des agents de l’IP consiste à tester des écouvillons sans procéder aux prélèvements, il n’en reste pas moins que ce sont eux qui donnent les résultats des cas positifs ou non au ministère de la santé publique d’un pays.
Nous sommes un jeudi 7 mai à Madagascar, des chiffres sur la contamination au coronavirus divergent entre les autorités et l’institut pasteur. Les autorités malgaches avaient reçu le chiffre de 67 cas positifs de l’OMS, doutant des résultats, elles ont donc demandé à l’Institut Pasteur de Madagascar de rendre des comptes. Des contre-tests ont aussi été effectués sur les 67 personnes concernées par un autre laboratoire. Au final, seules 5 personnes ont été positifs et non plus 67. « L’institut admet aujourd’hui que des échantillons sains ont pu être accidentellement contaminées mais sans que l’on sache à quel moment », selon RFI. Les enquêtes sont en cours pour trouver les vraies raisons qui ont poussé cet institut qui se veut sérieuse de donner des faux chiffres de COVID-19 aux autorités malgaches.
Un institut Pasteur à la solde des firmes pharmaceutiques ?
Ceci pourrait bien être un autre côté pervers des institutions internationales en terre africaine dont la crise sanitaire se charge chaque jour de mettre à nue. Le nombre de cas serait bien plus élevé ce jour dans cette grande île si ses autorités n’avaient pas eu l’audace de contester les chiffres avancés par l’institut Pasteur. Comment ne pas penser que la pratique de la publication de chiffres fantaisistes ou qui suivent la tendance voulue par les donateurs de l’IP a commencé depuis le début de cette pandémie ?
Dans des pays comme le Cameroun où l’on compte déjà plus de 2000 cas positifs, quelle assurance doit-on encore avoir sur les chiffres fournit par cet institut ? Elle pourrait bien jouer le jeu des firmes pharmaceutiques en créant une psychose au sein des populations, ceci en préparation des esprits à une certaine vaccination dont on dit voulue par les hommes d’affaires du Covid-business. Et ces fausses analyses concerneraient tout aussi bien le VIH-SIDA, les hépatites et toutes autres infections qui solliciteraient d’un côté leur expertise et de l’autre l’approvisionnement auprès des firmes pharmaceutiques.
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