Le Cameroun a eu le dessus sur une équipe mozambicaine en dessous de la moyenne de la. Compétition. Elle sort du Championnat des U20, moins de 20 ans, avec 3 défaites et 1 but marqué. Pour ce 3ème match de la compétition, elle était face d’une équipe Camerounais qui était déjà qualifiée pour le 2nd tour, et par conséquent n’avait plus trop de pression. Le fait marquant dans cette rencontre a été la titularisation de Étienne Eto’o, le fils de la légende de football planétaire Samuel Eto’o Fils, le goaléaodor de la sélection nationale Camerounais et pitchichi du Barca, il y a encore quelques années.
Toute la nation était devant l’écran pour s’assurer si oui ou non, le fils était aussi bon que le père. Étienne a su tenir la promesse des fleurs en marquant 2 buts au cours de la rencontré, avec un superbe coup franc dont en ont. Marqué les Camerounais que du temps de Jérémie Njitap et Womé Nlend. Et pour mieux colorier son entrée, le fils a fait une passe de but et est sorti l’homme du match. Depuis, c’est toute une nation en effervescence qui en parle, avec des comparaisons teintes de beaucoup plus de passion que de raison. Oui, le fils a du bon, et il a su le montrer, mais faut-il déjà lui offrir les titres sans mesurer l’adversaire du jour ?
Du recul s’impose en faveur de Etienne Eto’o
Qu’a joué le Mozambique tout le long de ce tournoi qui aurait pu donner du change à une équipe camerounaise nettement supérieure à cette équipe dans cette compétition ? RIEN, aucun compartiment. Les prochains matches, s’il est classé, devront nous donner la vraie hauteur de notre 10 Étienne Eto’o qui plus ou moins est un gamin en progression, encore fébrile dans les duels physiques, avec ce jeu européen d’une touche qui sied mal au football africain. Le recul demanderait aussi de savoir prendre les critiques acerbes qui pourraient un jour naître d’un faux pas comme l’on prend les hourras et les youpi dans les réseaux sociaux actuellement.
Car ce sera dans ce même lieu, où l’on dit tout de bon sur lui après ce triomphe, de méchant comme il y a quelques jours lorsque l’on soupçonnait son papa de l’imposer à l’équipe grâce à l’argent et à sa forte personnalité, oui ce sera aussi dans cette même arène implacable de 30 millions de coaches que certains qui, sûrement guettent un de ses faux pas dans un de ses jours sans, concoctent déjà la sauce, jaune, noire, graine ou verte, avec laquelle ils vont le manger le moment venu, fourbissent déjà leurs langues serpentines. Le fils saura sûrement compter sur la. Protection du père, mais devra déjà apprendre à encaisser les coups. Bon vent à Étienne Eto’o.