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LGBT au Cameroun : Ilaria Allegrozzi se met à dos le peuple camerounais

Ilaria Allegrozzi

Ilaria Allegrozzi

Ilaria Allegrozzi est chercheuse principale en Afrique centrale de Human Right Watch. Elle a pour mission de ressortir tout ce qui touche la violation des droits de l’homme au Cameroun pour le compte de cette ONG. Elle vit actuellement à Londres. Dans une de ses récentes publications sur le Cameroun, la chercheuse parle des violences faites à un transgenre à Douala.




Ce qui ressort de ses écrits est le ton avec lequel est mis sur papier ce qui lui a pourtant été rapporté. Beaucoup de passion semblent déteindre sur ce besoin incessant qu’elle a de montrer à la face du monde que le régime de Yaoundé est une dictature. Ceci ressort en fond dans tout ce qu’elle écrit sur le Cameroun. Elle emploie des mots clés que ne savent déchiffrer que ceux à qui s’adresse ses publications. Dans sa publication du 10 juillet 2021 intitulée : « Une violente agression transphobe filmée au Cameroun [le 08 juillet 2021, Ndla] », le sous-titre est : « Il faut abroger la loi qui criminalise les rapports homosexuels et protéger les personnes LGBT ». Ainsi le ton est donné et la voie aussi est montrée par elle comment le Cameroun devrait gérer sa cité. Sous une image de deux hommes quelque peu efféminés, Ilaria Allegrozzi écrit « Une agression d’une grande brutalité a été commise au Cameroun sur deux femmes transgenres ».

Ilaria Allegrozzi fait une confusion de genre

Nous sommes en plein dans cette cacophonie de genres dont se méfient les Africains. Pour l’Italienne, ce qui est arrivée à ces deux hommes « femmes » est simplement de la « persécution approuvée par l’État des personnes LGBT ». Et de conclure que « Les autorités devraient […] rapidement […] abroger la loi anti-homosexualité ».




Ce que semble oublier Ilaria Allegrozzi qui connait très bien le Cameroun, il me semble, est que ce n’est pas à l’Etat non plus d’imposer à ses populations qui ne sont pas encore prêtes pour ces mœurs de la honte le film des travestis et autres trans dans les rues. La liberté devrait justement avoir une limite dans l’espace publique. Sinon l’on ne donnerait pas des amendes en Europe à ceux qui fument dans des espaces publics. Surtout à ceux qui fument dans des espaces publics réservés aux mineurs.

La loi est dure, mais c’est la loi. Le Cameroun a produit cette loi selon son contexte, tenant en compte la majorité de ses citoyens, ses us et coutumes. Cette loi est camerounaise et devrait être respectée tant qu’elle est en vigueur. En attendant que les lobbies transgenres, transsexuels, gay et les lesbiens continuent leur lobbying, leur adaptes ou clients doivent respecter les institutions du pays, sans vouloir par la force imposer ces nouvelles mœurs aux autres Camerounais. A l’italienne Ilaria Allegrozzi, disons que l’Afrique n’a jamais voulu imposer aux occidentaux la loi instituant la polygamie sur leur sol.




En quelques mots

Sur le site de HRW l’on lit ceci d’elle « Avant de rejoindre Human Rights Watch, elle a travaillé comme chercheuse principale pour Amnesty International, enquêtant sur les abus liés aux conflits au Cameroun, au Tchad et en République centrafricaine. Elle s’est concentrée sur les questions de la lutte contre le terrorisme et de la torture des détenus dans le bassin du lac Tchad, notamment grâce à l’utilisation de techniques d’enquête open source. Ilaria a vécu et travaillé dans divers pays africains pendant plus de 15 ans et est actuellement basée à Londres. Elle a également travaillé comme responsable de la protection et du plaidoyer pour Oxfam et le Norwegian Refugee Council. Elle est titulaire d’un LLM en droit des droits de l’homme de l’Université Queen’s, Belfast, Royaume-Uni. Elle parle anglais, français et italien ». Pas de page Facebook, pas d’information sur son mariage, ni si Ilaria Allegrozzi a d’enfant.

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