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Roman Abramovich : injustices, russophobie et hypocrisie des Britanniques

Roman Abramovich Russie Ukraine Chelsea

Roman Abramovich Russie Ukraine Chelsea

Roman Abramovich, le propriétaire du club anglais Chelsea est victime d’une injustice criarde depuis quelques jours. Victime collatéral de l’opération Militaire spéciale de la Russie en Ukraine dans le but justifié ou non par Vladimir Poutine de « démilitariser … dénazifier » et empêcher l’entrée du pays de Volodymyr Zelensky dans l’OTAN comme il en a montré l’envie.




Pour les intérêts de l’Europe, l’on a vite fait le pont entre football et politique. Tout ceci pour le pousser à revenir aux accords de Minsk signé en 2014, voire d’obéir aux accords ayant sanctionné la fin de L’URSS en 2010, qui stipulaient que l’Otan ne devrait même pas d’un pouce avancer vers l’Est de l’Europe. Accords violés par l’union européenne (UE) et par les membres du Traité Atlantique Nord (OTAN). (LIRE AUSSI : Europe de l’Est : une « Libye » naît en l’Ukraine par la volonté de l’OTAN).

Roman Abramovich face à l’hypocrisie anglaise

Après avoir fait les beaux jours du championnat anglais de cette dernière décennie, le milliardaire et homme d’affaires russe Roman Abramovich vient de subir l’une des pires trahisons et hypocrisies de l’Occident. Le gouvernement britannique dans sa logique de vouloir créer des ennemis à Poutine et des mécontentements en Russie, dans l’espoir d’un renversement du pouvoir en Russie, lui pose des interdictions formelles.




Il est désormais interdit entre autres de transactions avec des particuliers et des entreprises britanniques, vendre des produits dérivés, prolonger des contrats, acheter ou vendre un joueur, de voyager. La Vente du club Chelsea à été suspendue et mis sous la gestion du Royaume uni le temps de trouver comment le vendre avec obligation de continuer à payer les salaires des joueurs, du staff et autres. Tous les avoirs du Russes ont gelés. (LIRE AUSSI : Russie : une économie sous évaluée par Gauthier Rybinski sur France 24).

Pourquoi ?

Le gouvernement britannique dit le faire parce qu’il est un proche de Poutine. Depuis quelques jours, dépassés par la fermeté et la détermination des Russes à obtenir satisfaction de leurs conditions pour un cessez-le-feu (soit par la négociations, soit par la force aurait dit Poutine à Emmanuel Macron au téléphone), comprenait que les sanctions. aussi variées soient-elles ne font pas bouger les lignes,.




Au contraire rendent la Russie plus concentrée vers son objectif, les Occidentaux ont décidé de s’en prendre à présent aux avoirs, images, notoriété des proches, amis et ministres de Poutine, et aux femmes et hommes d’affaires russes. La réponse des sanctions russes est toujours attendue. (LIRE AUSSI : Denis Kireev : Kiev exécute son négociateur par balles (sources multiples)

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