Au Gabon, Albert Ondo Ossa parle d’une révolution de palais parrainée par l’Occident Albert Ondo Ossa, candidat à la présidentielle gabonaise et principal opposant du président Ali Bongo à la présidentielle sort de silence et accuse les putschistes d’être manipulés par l’étranger. Il demande par ailleurs le retour à l’ordre constitutionnel et surtout au retour aux résultats de la dernière élection.
Dans son interview donnée sur une chaîne #française, il nous fait comprendre faire confiance aux institutions internationales pour obliger ceux qui ont renversé Ali Bongo à revenir à un pouvoir au peuple, et la restitution du pouvoir aux civils. Car dit-il, « Il y’a pas eu de coup d’État au Gabon mais plutôt une révolution de palais pour régler une affaire familiale. Donc avec Brice Oligui Nguéma, c’est le clan Bongo qui reste au pouvoir, avec en arrière-plan Pascaline Bongo aux commandes. »
Albert Ondo Ossa compte sur les institutions internationales
Pour le challenger d’Ali Bongo à la présidentielle 2023, les Gabonais ne s’arrêteront pas, lui le premier, à chasser juste Bongo. Seulement, il nous apprend être en contact avec les autorités françaises, avant les élections et après le coup d’Etat, qu’il discute actuellement avec eux. La question reste à savoir si les nouveaux hommes forts du Gabon se plieront aux directives de L’Union africaine, de la CEMAC et d’autres institutions internationales dont il compte faire appel dans son combat #news #africa. (LIRE AUSSI : Coup d’Etat au Gabon des Bongo expliqué aux nuls).
